Causes possibles de l'absence de plénitude d'Onction sainte

Publié le 25 juin 2010 par Shaliah Amani Tshimenga

Nous devons d’abord savoir que la manifestation de l’Onction sainte dans le nouveau disciple est un effet communicatif que lui transmet celui qui baptise d’eau. Le pouvoir du Saint Esprit lui est généralement transmis par l’imposition des mains sauf quelques rares exceptions où Dieu agit directement mais n’empêche pas l’accomplissement de l’imposition des mains (de préférence la main droite pour bénir et non pour maudire.

Genèse 48:14-19.), car le Seigneur oeuvrant avec son envoyé comme canal de dispensation des dons ou comme porte-Parole seulement. Actes 9:17; 19:6; Romains 1:11; 1 Thessaloniciens 3:10; 1 Timothée 1:6. N'est-ce pas que l'Esprit de Moïse était entré dans Josué(Yehoshua) par l'imposition des mains!

La communication de l’Onction sainte fait partie de l’autorité divine et, cette autorité va de pair avec la soumission à la parole testamentaire.

- Si celui qui baptise n’est pas en ordre avec la Parole de Dieu, il n’y aura pas de manifestation immédiate des signes de l’Onction. Dans ce cas, si

le nouveau disciple est en ordre avec la Parole, par un sincère repentir sans cacher un interdit, la manifestation de la plénitude des signes de

l’Onction aura lieu ultérieurement dans des conditions favorables (par exemple lors d’une réunion des saints remplis d’Onction sainte ; au moment de la prière personnelle du nouveau converti; la proximité des chants de louange, l’imposition des mains d’un serviteur en ordre avec le Seigneur,

etc.)

- Le candidat au baptême peut manquer de foi, de sincérité au moment de l’immersion et accomplit le baptême comme une simple formalité; l’immersion est valable mais la plénitude ne se manifestera que plus tard, quand le disciple sera dans une condition propice de foi.

- D’autre part si le nouveau disciple a, au moment de son baptême d’eau, caché un interdit dont il est conscient, il n’y aura pas de manifestation de plénitude quoique l’immersion est valable. C’est pourquoi il faut toujours demander au candidat au baptême d’eau de confesser sincèrement ses péchés et déclarer y renoncer, de dénoncer et de livrer tout objet ayant servi à la prostitution spirituelle. Ces objets, s’il y en a, sont à détruire de préférence avant l’administration du baptême d’eau (le signe de renoncement précède l’immersion à travers l’eau). Actes 19:19.

Il y a beaucoup d’interdits : une personne qui vient de commettre un vol ou un adultère dont elle est encore consciente et qu’elle cache, s’opposera à la manifestation des signes de l’Onction. Matthieu 3:6,8; Proverbes 28:13. Pour

le cas des péchés dont on ne se souvient plus au moment du baptême d’eau, on confessera selon le psaume 19:13.

Psaume recommandé comme garde-fou à la fin de chaque prière de demande de pardon. Confesser ses péchés et demander pardon sont deux actions différentes, de même demander pardon et cesser de pécher sont deux choses différentes. On peut avouer sans reconnaître que c’est

mauvais.

Un baptême d’eau conféré sans immersion du candidat dans l’eau, est nul et ne peut même pas avoir de relation avec la bénédiction immédiate ou ultérieure de l’Onction du Saint Esprit. C’est le cas des assemblées qui prétendent qu’il n’y a pas de pouvoir de Saint Esprit à manifester par le saint autre que le serviteur de Dieu ; certaines de ces assemblées ont déjà changé d’avis (rebroussé chemin), ce qui est un bon redémarrage pour eux.

*Lors de la révélation de ce ministère au nom de YeSHuaH, une question s’était posée à moi concernant la justification des expériences de plénitude vécues après les baptêmes d’eau que j’avais dispensé au nom de Jésus.

Il y a eu des guérisons, des « parler en langues » et des manifestations diverses ; mais ma femme était morte dans mes bras pendant que j’invoquai la grâce de Dieu au nom même de Jésus ; et Dieu ne m’a jamais prouvé que j’avais péché, au contraire Il m’avait vengé et avait continué de m’utiliser efficacement, faits que peuvent témoigner certains bénéficiaires.

Et aujourd’hui, Il m’a chargé de cette mission d’écrivain et d’apostolat ; c’est pourquoi j’ai préféré me réfugier uniquement dans le nom YeSHuaH révélé par Lui, afin d’éviter la confusion au jugement dernier. C’est avant tout un fait d’authenticité doctrinale lié à la source de provenance initiale, avant d’être celui d’efficacité, car les événements spirituels sont tangibles dans beaucoup

d’autres voies de croyance; à chaque arbre, ses fruits.

A cette question, le Seigneur répond qu’il est le Dispensateur de toute grâce, par le bon ou par le mauvais canal, selon sa volonté (Isaïe 45:7; Lamentations 3:37-38 ; Deut 13:4). Seulement le salut éternel sera accordé

conformément aux éléments de l’Ecriture originale. (Actes 4:12; Matthieu 1:21). Le nom Yéchoua/YeSHuaH est légitime à cause de son origine doctrinale, les juifs sont encore là pour nous le confirmer et je fais attelage ministériel avec eux. Jean 4:22; Rom 3:1-2. En effet, le salut était

entré par les juifs et les écrits proviennent de chez eux.

Pourquoi YeSHouaH, après avoir dit à la femme samaritaine que Dieu étant esprit, il n’est pas obligatoire de l’adorer uniquement à Jérusalem, ajouta cet avertissement voilé « le salut vient des juifs » ? C'est donc une mise en garde contre ceux qui se voient plus grand que les juifs. Choisissez !

Les manifestations au nom de Jésus ne sont donc pas une raison valable pour abolir la foi dans le nom donné prophétiquement par l’ange (Matthieu 1:20-21) ; ne voit-on pas des manifestations effectives dans le domaine des

sciences occultes, peut-on alors dire que ces gens sont dans la vérité de Dieu ?

Je ne dis pas que le nom de Jésus est sans valeur; j’y étais mais pourquoi Dieu m’a-t-Il fait préférer celui de YéSHuaH juste devant le lit de mort de mon épouse. Je peux avoir tort devant les hommes, mais pas devant Dieu

car la Bible ainsi que le nom originel sont israëlites.

Qui sait si ce nom avait été caché pour la perdition de l’humanité. Faites donc attention à la porte étroite, elle a plusieurs formes énigmatiques, peut-être que c’est là que se trouve un morceau de son puzzle. Pesez d’abord vos arguments contre le nom YeSHuaH, et le prix que peut vous coûter son acceptation, parfois rien du tout et l’acquisition de la garantie du salut. Vérifier avec le peuple juif de qui est sortie la Parole du salut. Luc 13:24 ; Galates 1:10 ! De vingt deux lettres de l'alphabet hébraïque en partant de Alef à Tav, il n'y a pas de lettre J et la seule voyelle c'est i(yod). D'où vient ton J de Jésus car le Messie était juif né des juifs.